mercoledì, aprile 25, 2012

TOKYO NIGHT - LA NOTTE DI TOKYO - LA NUIT DE TOKYO - TOKYO NO YORU: UN LIBRO SUL GIAPPONE




TOKYO NIGHT - Chiara Gallese

Cerebro Editore, 15 dicembre 2013

ISBN: 9788897914785

Prezzo di vendita 15 €
Libro NARRATIVA 218 pagine
Copertina rigida A5


Recensioni e interviste:

"Un viaggio nella notte di Tokyo vista attraverso le stazioni principali della metro, ognuna delle quali racchiude in sé un frammento di vita passata.
Keiko, stilista alla soglia dei trent’anni, fa rivivere i ricordi della madre attraverso le proprie creazioni, ispirate ai suoi dipinti.
I vividi flashback di un ragazzo insolito e affascinante, in lotta continua per trovare una sua identità, accompagnano la vita quotidiana della protagonista, che riesce in questo modo a superare il suo abbandono.
Nei luoghi e nei momenti più impensabili, un misterioso ambasciatore italiano appare e scompare come un fantasma.
Infine, un ragazzo normale ma allo stesso tempo unico, che segnerà le sorti di ogni esistenza intorno a sé, fino a prevalere fra tutti.
Una generazione di giovani disincantati, persa nel presente incerto, che vive di ricordi mentre cerca la sua strada nel mondo.
Il dolore per la perdita delle persone care, la loro lontananza o la loro assenza, rimane sempre in sottofondo durante tutto il racconto.
I rapporti umani che si intrecciano nei quartieri più frequentati della città scorrono via lentamente, fragili come petali di ciliegio nella stagione della fioritura. "

Tokyo Night è un romanzo ambientato nella metropoli di Tokyo, nel Giappone postmoderno. I titoli dei capitoli ripercorrono le stazioni principali della metropolitana, che nella capitale sono il punto di ritrovo dei giovani, l’equivalente delle piazze nella cultura europea.
Il romanzo è stato scritto dal punto di vista di una ragazza giapponese tra i venti e i trent’anni, Keiko; non solo per quanto riguarda la trama e i contenuti, ma anche per lo stile linguistico: l’intenzione è quella di farlo sembrare una traduzione di un testo giapponese. Essendo un’orientalista, l’autrice ha utilizzato espressioni e immagini tipiche della cultura giapponese, prendendo spunto da autori moderni e contemporanei quali Banana Yoshimoto, Haruki Murakami, Natsuo Kirino e Yasunari Kawabata. Proprio per questo, sono state aggiunte delle note esplicative per i punti difficili da comprendere per un lettore meno esperto della cultura nipponica, come feste tradizionali, personaggi noti, cibi, eventi storici.
La trama si svolge su più livelli. Mentre da una parte la protagonista percorre un cammino di crescita personale con i due uomini più importanti per lei, per poi giungere a una scelta definitiva, dall’altra vive il presente filtrandolo attraverso i ricordi delle persone che non fanno più parte della sua vita; o perché scomparse (la madre, il figlio mai nato), o perché allontanati (l’ex ragazzo Masayuki, il padre).
Inoltre, le persone care rivivono anche attraverso le creazioni artistiche che utilizza per il suo lavoro. I suoi dipinti, infatti, ispirati ai saggi della madre, sono la base di partenza per la creazione di una linea di accessori di lusso.
Oltre alle descrizioni dei luoghi e della società giapponese, nel romanzo vengono approfondite anche le differenze con l’Italia (uno dei protagonisti è appunto italiano), particolare che può interessare il pubblico di entrambi i paesi. In realtà i destinatari di questo libro sono mirati, cioè quelli che leggono manga, guardano anime, praticano arti marziali o si interessano di filosofia giapponese, nonché ovviamente tutti coloro che studiano la lingua; ma può essere apprezzato anche da chi non ha alcuna conoscenza specifica.

Quatrième de couverture: "Un voyage dans la nuit de Tokyo à travers les stations principales de métro, dont chacune comporte un fragment d'une vie passée.
Keiko, une designer au seuil de 30 années, ramène des souvenirs de sa mère par le biais de son propres créations, inspirées par ses peintures.
Les flash-backs vives d'un garçon surprenant, charmant, dans une lutte constante pour trouver son identité, accompagnent la vie quotidienne du protagoniste, qui peut de cette manière surmonter son abandon.
Dans les endroits les plus inattendus, parfois un ambassadeur italien mystérieux apparaît et disparaît comme un fantôme.
Enfin, un garçon normal mais en même temps l'un qui va marquer le destin de toute l'existence autour de lui, à régner parmi tous.
Une génération de jeunes désabusés, perdu dans le présent incertain, qui vit de souvenirs comme il essaie de trouver son chemin à travers le monde.
La douleur pour la perte des personnes chères, leur éloignement ou leur absence, reste en arrière-plan tout au long de l'histoire.
Les relations humaines qui sont imbriqués dans les plus fréquentés quartiers de la ville filent lentement, aussi fragiles que des pétales de fleur dans la saison des cerisiers."

Critique par le site "Braviautori":
"Tokyo Night" est le premier roman que Chiara Gallese publie, mais ce n'est pas le premier livre de l'auteur. En fait, ce texte a la fraîcheur et le charme d'un travail de début, mais l'écriture du Gallese montre déjà (on pourrait presque dire: triche) un style et une confiance rare pour un premier roman. Chiara nous emmène avec talent et sensibilité dans le microcosme de l'affection et de l'amour de Keiko, une jeune femme aux prises avec des problèmes typiques de son âge: l'accès à l'emploi, la comparaison avec leurs aspirations et leurs attentes, l'encontre avec l'amour, les relations avec la famille.
Grâce à une trajectoire idéale, marquée par les étapes des stations de métro de Tokyo, Chiara donne la vie et la voix à Keiko, mais à travers ce personnage elle fait effectivement la fresque d'une ville et une génération. Le goût de l'auteur trouve son expression ultime dans la capacité à évoquer la même atmosphère et les sentiments que les écrivains célèbres ont transmis à travers leurs œuvres se déroulant au Japon. Dans les étapes de l'environnement de la ville, qui sont les plus courants, le portrait de Keiko, pour la précision et la clarté des pages, rappelle Terzani et sa compagne Angela Staude, avec ses "Journées du Japon". Ce qui ressort, c'est une Asie frénétique, consumériste et toujours avec l'intention d'entretenir des embauche, de manger ou de ébaucher des contacts d'affaires. Lorsque la scène change par rapport au scénario de la capitale, la région Asie refait surface vielle, antique, contemplative, réfléchie et profonde. Dans ces passages, nous sentons l'écho des suggestions tristes et douloureux d'un écrivain comme Soseki ou le souffle infiniment sage du haïku et du tanka.
Keiko n'est pas le seul personnage à lequel Gallese a donné vie: les protagonistes sont tous bien caractérisés et crédibles. Souvent le lecteur dans le cas de Keiko doit se rappeler que la voix narrative du protagoniste est le fruit de l'imagination d'un auteur pas japonais mais italienne, parce que l'identification semble être parfaitement réussie. Également les co-stars, surtout Michele et Masayuki, sont rendus avec un travail expert de creusement et avec un jeu psychologique très équilibré  de «dit» et «non dit» que nous fait comprendre la nature des personnages et en même temps les laisse enveloppées dans un halo de mystère séduisant.
Mais la véritable force du texte est une autre. Qu'est-ce que rende le résultat diffèrent d'une simple «bonne lecture» à grand roman est l'assemblée sage de enclenchement des événements qui se sont poursuivies au cours des travaux. La compétence du Gallese se trouve dans l’avoir construit et alterné, de façon intelligente, raffinée, jamais ennuyeux, un chemin qui alterne des moments différents, et, quel que soit le moment chronologique des épisodes racontés, trace un chemin du cœur, des sentiments et des sensations. Cet ensemble excellent donne au texte une touche unique, moments de tristesse et quand les protagonistes sont dans un état de grâce se passent dans la vie des personnages à tour de rôle, tout comme dans l'existence réelle, et pour cette raison elle va droit au cœur du lecteur.
Un roman parfait? Presque. L'auteur a été affecté que très peu en raison d'une publication propre. Les seuls défauts qui peuvent être attribués à la rédaction du Gallese sont réduites à de petites, véniel, frottis de correction éditoriale que la supervision d'un professionnel ou un lecteur forte aurait découvert et aidé à corriger, dans le processus de lecture, sans problème particulier. Cependant, vers la fin du roman est aussi perçu une plus grande prise de conscience de ces problèmes et elle tente d'intervenir de cette manière: c'est peut-être non seulement une révision complète du texte, mais ce sont des détails mineurs, d'autres sont les points forts travail que les compensent entièrement.
Une histoire touchante, vraiment convaincante, alors, qui jette un éclairage nouveau sur une culture et un pays loin de l'expérience d'un Européen, qui aide à éclairer la réalité sous un angle dans la plupart des Japonais, même ceux qui ne sont pas nouvelles aux lectures qui parlent de la Terre du Soleil Levant sortiront stimulés et enrichis. Un livre à lire et probablement, après un certain temps, lire encore pour examiner les nombreuses nuances de meilleur goût.
Un texte qui a la force de vaincre et même faire glisser eux qui ne se sent pas très intrigués et attirés par le Japon, parce que "Tokyo Night" aide à nous apporter une vie loin de notre culture d'appartenance, ce qui alimente l'intérêt dans un monde lointain, souvent difficiles à comprendre, mais non moins charmante et capable d'une forte attractivité.

Synopsis: « La nuit de Tokyo » est un roman qui se déroule dans la métropole de Tokyo, dans le Japon postmoderne. Les titres des chapitres qui passent par les principales stations du métro de la capitale sont le point de rencontre pour les jeunes, l'équivalent des carrés dans la culture européenne.
Le roman a été écrit du point de vue d'une jeune fille japonaise âgée de vingt ou trente ans, Keiko, non seulement pour ce qui concerne l'intrigue et le contenu, mais aussi pour le style linguistique: l'intention est de le faire ressembler à une traduction d’un texte japonais. Comme un oriental, l'auteur a utilisé des phrases et des images typiques de la culture japonaise, inspirée par les auteurs modernes et contemporains, tels que Banana Yoshimoto, Haruki Murakami, Natsuo Kirino et Yasunari Kawabata. Pour cette raison, on a ajouté des notes explicatives pour les parts plus difficiles à comprendre pour un lecteur novice de la culture du Japon, comme les fêtes traditionnelles, les célébrités, la nourriture, les événements historiques.
L'intrigue se déroule à plusieurs niveaux. Bien que d'une part, le protagoniste va sur un chemin de croissance personnelle avec les deux hommes les plus important pour elle, avant d'arriver à un choix définitif, de l'autre coté elle vit dans le présent filtré à travers les souvenirs des gens qui ne font plus partie de sa vie; ou parce qu'ils ont disparu (la mère, l'enfant à naître) ou parce qu'ils ont déménagé loin (Masayuki, l'ex-petit ami, le père).
En outre, ses proches vivent à travers des créations artistiques utilisées pour son travail. Ses peintures, en fait, qui ont inspiré les sages de la mère, sont le point de départ pour créer une ligne d'accessoires de luxe.
En plus de descriptions de lieux et de la société japonaise, dans le roman sont aussi des différences profondes avec l'Italie (italien est un des protagonistes), un détail qui peut intéresser le public dans les deux pays. En fait, les bénéficiaires italienne de ce livre sont ciblés, ceux qui lisent les mangas, qui regardent les anime, qui pratiquent des arts martiales ou s'intéressent à la philosophie japonaise, et bien sûr tous ceux qui étudient la langue, mais peut aussi être apprécié par ceux qui n'ont aucune connaissance spécifique.


martedì, aprile 03, 2012

Risultati DEFINITIVI del Premio La giara della RAI


Nonostante nel regolamento fosse scritto che i vincitori regionali sarebbero stati annunciati il primo marzo, la direzione ha fatto sapere che la data finale sarà invece il 30 marzo.
Incongruentemente, due regioni hanno già annunciato i concorrenti vincitori della fase regionale: le Marche e la Liguria. (aggiornato al 28 marzo 2012)
Ricordiamo che i semifinalisti regionali saranno  63, i finalisti nazionali 21 e il vincitore uno solo. Se vi chiedete come mai le Regioni siano considerate 21 invece che 20, è solo perché il Trentino ha una sede RAI distaccata rispetto all'Alto Adige, dato che vi sono due provincie autonome. 


Abruzzo Kristine M. RAPINO    “Voglio un amore da film”
Cristina ROSATI     “Piombo quotidiano”
Mario   CIPOLLONE    “Il georgiano”




Basilicata Susanna SANFELICE DI MONTEFORTE  “La duchessa di ginepro”
Davide Canio SPADOLA    “Apeiron”
Valentina RUSSO     “Monteluna – Il dono”
Gianmichele LAINO     “Come le nuvole di incenso”




Campania Gino CIAGLIA   “Al freddo e al gelo”
Salvatore Luca D’ASCIA    “Show me love”
Pier Angelo CONSOLI    “Salta tutto”




Calabria Domenico COLELLA    "La promessa"
Mariagiovanna SALADINO  "Il domani sorge sempre al tramonto"
Carla GIGLIOTTI   "Nessuno tranne le formiche"




Emilia-Romagna Paola SENSI   “Progetto sette”
Vanessa NAVICELLI    “Il pane sotto la neve”
Camillo ARANCI    “Stranavita”




Friuli Dario OLIVO   “Reclame”
Rosa FASAN    “In linea con l'orizzonte"
Simona ATTICO    “Non sono normale”




Lazio Valerio BARBIERI    “Il manoscritto perduto”
Attilio FACCHINI    “La malattia del signor L.”
Maria Claudia CAMMISECRA  "Per la pioggia che cade"




Liguria Giacomo  RAVELLI        “Il tempo dei lupi”
Davide  BRASSANIN    “A fior di pelle”
Viola  LODATO        “Take the time”




Lombardia Annalisa SEVESO      “Giglio di ghiaccio”
Roberto PATERLINI    “Cani randagi”
Luca SALTINI        “Il demolitore di camper”




Marche Manuela LUNATI       “Giochi di mano”
Pierluigi LUCADEI     “Niente di me che non avrai”
Maristella OLIVIERI    “Facoltà d'ingegneria”




Molise Laura MIOZZA        “Un amore da scoprire”
Maristella OCCHIONERO    “Via delle viole 3"
Giuliana SANTORO    “L’amore ai tempi dello spread"




Piemonte
Cinzia  BONAVITA    “Il baron”
Alice   CORSI        “La memoria degli alberi”
Jennifer RUOTOLO   “L'uomo che non sapeva contare"




Puglia
Giancarlo CHIECO    “Racconto futuro anteriore"                  
Bianca CIANFANO        “Brucerò per te la pioggia"
Giorgia DI MARCO    “I tempi dell'amore”




Sardegna
Giuseppe Elia MONNI    “Il corpo della città”
Simonetta SPISSU    “I suoi occhiali per il mondo”
Luca MASTINU        “Più forte del mondo"




Sicilia
Gianfrancesco IACONO     “Rêve dans la rue bleu"
Gaetano CELESTRE        “A truvatura”
Domenico Davide PAPPALARDO     “Tappeto verde”


Toscana Damiano DANI        "La casa dalle mura di pietra"
Gianlorenzo CASINI  "Genesis"
Maurizio CARTOCCI   "Aler Ego"

Trentino (Bolzano) Stefano CHINAGLIA     “Alice”
Ilirjana SOKOLAJ    “Bell Rupio e Miranda J. - Sognando la realtà”




Trentino (Trento) Alessia Giovanna MASTRICIANO “La casa dei passeri”
Thomas  FRANCHINI      “Terra, aria, oro e luce"
Dario GIGLI   “Il vento di Dio”




Umbria Daniele  MARCHETTI    “Il confessore”
Marta PORZI  “L’eco di te”
Alberta LEPRI   “Nina è contenta”




Valle d'Aosta Simone  TORINO        “Tsanval"
Marilù  LANZIANI        “Il sonno degli angeli"  
Stefania GIACOBONE    “Stelle scadenti sfibrate”




Veneto Rachele  DOIMO        “Gianino, storie di un giorno"
Luca  VALENTE        “Un posto migliore”
Fabrizio BONETTO    “Centottantagradi meno Giulio"
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Marche: 40 partecipanti, di cui 10 squalificati - Vincitori: Maristella Olivieri;  Manuela LunatiPierluigi Lucadei.

Liguria: 39 partecipanti - Vincitori: Viola Lodato; Giacomo Revelli; Davide Bressanin.


Puglia: ? partecipanti - Vincitori: Giancarlo Chieco; Bianca Cianfano; Giorgia Di Marco.

Calabria: 61 partecipanti - Vincitori: Carla Gigliotti; Domenico Colella; Mariagiovanna Saladino.

Valle D'Aosta: ? partecipanti - Vincitori: Merilù LanzianiStephania Giacobone;


Molise: ? partecipanti - Vincitori: Laura Miozza; Maristella Occhionero; Giuliana Santoro.

Sicilia: 150 partecipanti - Vincitori: Gaetano Celestre;


Campania: ? partecipanti - Vincitori: Pierangelo Consoli;

Alto Adige: ? partecipanti - Vincitori: Stefano Chinaglia,  Ilirjana Sokolaj;


Sardegna: ? partecipanti - Vincitori: Luca Mastinu;


Basilicata: 22 partecipanti - Vincitori: Susanna Sanfelice di Monteforte; Davide Canio Spadola; Valentina Russo; Gianmichele Laino


Veneto: ? partecipanti - Vincitori: "Gianino, storie di un giorno"; "Un posto migliore"; "180° meno Giulio".

Emilia - Romagna: 80 partecipanti

Umbria: 27 partecipanti

*IN MERITO AI ROMANZI ESCLUSI*: è apparso questo articolo su Vivere Ancona http://www.vivereancona.it/index.php?page=articolo&articolo_id=344037, che spiega come mai siano stati esclusi 10 romanzi su 40 nella sola regione delle Marche.
Infatti l'art. 12 del regolamento recita: "Con l’invio dell’opera, ciascun partecipante concede a Rai, fino alla data della proclamazione del vincitore, il diritto di opzione per l’acquisto in esclusiva dei diritti di sfruttamento dell’opera in ogni sede, forma, modo, impegnandosi altresì a non pubblicare né sottoporre o far comunque conoscere il testo dell’opera ad altri soggetti terzi nel termine sopra indicato."
All'art. 10 leggiamo invece che il termine essenziale per la Rai è il 31 dicembre 2011 alle ore 23:59.
Da ciò consegue che saranno escluse tutte le opere, e solo quelle, che violano le disposizioni del regolamento, tra cui quelle che, nei termini specificati nel bando, vietano di

- pubblicare

- sottoporre

-far comunque conoscere il testo.

Ciò significa che non possono essere escluse le opere rese note prima o dopo il periodo che va dal 31 dicembre 2011 al 31 luglio 2012 (o diversa data in cui verrà proclamato il vincitore).
Essendo la Rai un ente pubblico, ed essendo questo premio un concorso nazionale, l'interpretazione del regolamento dovrà seguire le norme di diritto amministrativo.